samedi 16 mai 2009

FNJ Nice : Quand les meules de Rachida savent broyer...

Communiqué du Parti populiste


Cinq militants du Front national de la jeunesse de Nice ont été condamnés le 12 mai en comparution immédiate à 18 mois de prison dont 3 mois ferme par le Tribunal correctionnel de Draguignan pour une agression à caractère raciste dans le Var, en revenant du meeting de LE PEN de Marseille.


Un 5e, un mineur de 17 ans a été placé en centre « éducatif » fermé.
La victime, un cuisinier noir, avait subi des insultes et aurait été « roué de coups » d’après les témoins ce qui avait entrainé un arrêt de travail de 8 jours. Dans un réflexe militant, les jeunes ont annoncé qu’ils quittaient le FN ce que n’a pas manqué de souligner son Président interrogé par les médias.

Le Parti populiste s’étonne de la lourdeur de la condamnation. Certes, une agression constitue un grave délit mais l’enquête a révélé que les jeunes étaient « éméchés », donc qu’ils avaient bu, ce qui atteste qu’ils n’étaient pas en possession de tous leurs moyens. Nous nous étonnons aussi que la Justice de ce Pays n’ait pas cru bon décider de peines substitutives. Elles ne manquent pourtant pas : bracelets électroniques, condamnation à des travaux d’intérêt général, amende financière, dédommagements pour la victime, et autres.


Mais de la prison ferme semble pour le moins paradoxal à l’heure où l’engorgement est généralisé dans les établissements pénitentiaires de Dame DATI.


Le Parti populiste estime que la prison aurait du être réservée à ces jeunes uniquement en cas de récidive avérée ou en cas de violences armées ou aggravées et préméditées. Or, la victime est apparue en bonne forme et sans traces de coups devant les journalistes et à l’audience, tant son rétablissement a été rapide ce dont nous ne pouvons manquer de la féliciter…


Nous serions également curieux de savoir si les actes de racisme anti-Français ou anti-blancs sont aussi souvent punis de prison ferme et dans les mêmes proportions ???


Si nous déplorons un acte répréhensible, rien ne nous empêche sur le plan humain de rester solidaires de militants qui avaient mené une campagne harassante.


Les savoir incarcérés nous révolte. Nous ne nous mêlerons donc pas au silence assourdissant de leur ancienne hiérarchie, exception faite de Jean-Marie LE PEN, et leur témoignons tous nos fraternels sentiments nationalistes.


(Parti populiste).

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